
Au Québec. La fondatrice de Carpe Diem pousse un coup de gueule
Ayant participé à la Commission de la santé et des services sociaux sur le projet de loi concernant les soins en fin de vie, Mme Poirier insiste sur l’importance d’améliorer les conditions de vie et le soutien aux familles des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. «Je dis oui à la recherche et oui au dépistage, mais il ne faut pas oublier ceux qui sont présentement atteints», répète-t-elle.
Par ailleurs, Nicole Poirier est un peu troublée de constater que le gouvernement veuille favoriser le diagnostic précoce avant même que la maladie soit déclarée… alors qu’il n’existe aucun traitement curatif. «Être proactif, c’est aussi savoir prévoir et répondre aux besoins des personnes qui combattent la maladie pendant plusieurs années à la suite du diagnostic», plaide-t-elle.